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centre ville deserté

FEDER-Cités - PARTENARIAT PUBLIC/PRIVÉ

Faire respirer la ville – Construire l’avenir ensemble

Action Cœur de Ville

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FEDER-Cités

NOS ACTIONS POUR LES COLLECTIVITÉS PUBLIQUES

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FEDER-Cités – ACTION CŒUR DE VILLE 

est un PARTENARIAT PUBLIC / PRIVÉ pour lutter efficacement contre la désertification commerciale des centres-villes moyennes, la dégradation du logement social, l’absence de présence médicale diversifiée et le manque cruel de mobilité rurale. 

est une réponse sociétale aux besoins de redynamisation des villes moyennes sans utilisation de fonds publics. Les partenariats PUBLIC/PRIVÉ concoctés par le groupe Compagnie Générale permettent de redonner attractivité et douceur de vivre à ces territoires délaissés. 

FEDER-Cités – ACTION CŒUR DE VILLE 

metier medicale
construction ecologique

FEDER-Cités – ACTION CŒUR DE VILLE

Le groupe Compagnie Générale, incubateur à caractère mutualiste, s’est donné pour mission de structurer les différents porteurs de projet sur ces sujets ô combien sensibles à la paix sociale que sont les déserts médicaux, le manque de logements solidaires et l'absence d'offre de mobilité.   

Les partenariats PUBLIC / PRIVÉ permettent de répondre aux défis d’existence des villes moyennes.

Le groupe Compagnie Générale, a confié le pilotage de ces missions à différents acteurs économiques qui travaillent sur trois axes, l’implantation de maisons de santé pluridisciplinaires, le logement solidaire dédié aux femmes en difficulté et la mobilité rurale.

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Le groupe Compagnie Générale a constitué un ensemble de structures, véritable   « Task-Force » d'intervention dans la résolution de ces problématiques récurrentes des villes moyennes.

Trois entités sont dorénavant actives sur les trois axes de redéploiement des villes moyennes : 


Compagnie Générale de Santé pour l’établissement de maisons médicales, 

RES Résidences Eco Solidaire pour le logement dédié aux femmes en difficulté,

FEDER-Cités Mobilités pour la création de mobilités rurales solidaires.

LA LUTTE CONTRE LES DÉSERTS MÉDICAUX

Compagnie Générale, afin de respecter le cahier des charges du partenariat FEDER-Cités, a revisité les rapports traditionnellement installés entre le monde médical et les pouvoirs publics. Entre les administratifs qui veulent régenter la médecine et les médecins qui se prennent pour des gestionnaires, l’amer constat qui a été établi, a révélé de graves manquements de fonctionnement, notamment sur le statut du praticien libéral, qui expliquent l’ampleur du phénomène des déserts médicaux. Traditionnellement, ce praticien médical vendait son « fonds de commerce », le droit de présentation de sa patientèle, à un jeune confrère qui souhaitait s’installer et gagnait ainsi un capital qui compensait le faible niveau de retraite des professions libérales. 

Aujourd’hui, force est de constater que cette tradition rémunératrice n’existe plus, compte tenu du nombre insuffisant de praticiens en général. Pour pallier ce double manquement, l’absence de médecins et le manque d’attractivité des territoires malgré la cohorte de propositions incitatives mises en place par les pouvoirs publics, Compagnie Générale, via Compagnie Générale de Santé, sa filiale spécialisée dans l’organisation des acteurs du monde de la santé, constitue, pour les villes moyennes, un réseau de maisons de santé pluridisciplinaires, dimensionnées localement par les services compétents des Mairies. Cette structure dédiée se chargera d’inciter les médecins à redensifier l’offre de soin sur l’ensemble des territoires. 

Par quel miracle Compagnie Générale de Santé réussirait-elle le remplissage en personnel soignant de ces maisons de santé, là où tous les corps d’état ont échoué ? Tout simplement en redonnant vie à la tradition rémunératrice de la cession du droit de patientèle. 

Compagnie Générale propose donc un partenariat attractif aux professionnels de santé qui rejoignent Compagnie Générale de Santé, le « pack sécurisé SELARL » structuration de leur activité en Société d’Exercice Libéral afin de valoriser leur « Droit de Présentation de la Patientèle » et de créer des actifs monnayables. 

En clair, un médecin qui ne rêve plus de vendre son cabinet à son départ en retraite, se verra, en rejoignant Compagnie Générale de Santé et ses maisons de santé, immédiatement, à la signature de son engagement, créer comme « Golden Hello » une somme équivalente à 100% de ses honoraires. De plus, cette offre professionnelle se conjuguera avec une qualité de vie environnementale nouvelle, offerte par ces villes moyennes ainsi redynamisées.

LA LUTTE CONTRE LA DÉGRADATION DU LOGEMENT EN CENTRE-VILLE

Lancé en 2018, le plan gouvernemental « Action Cœur de Ville » visait à donner un nouvel élan aux villes moyennes, et plus précisément à développer l’activité et l’attractivité de leurs centres-villes. Pour ce faire, cinq milliards d’euros ont été mobilisés par l’État à l’échelle national sur cinq ans. Ce plan volontaire s’est heurté rapidement aux contraintes budgétaires des villes moyennes qui voient leurs recettes fiscales se rétrécir et leurs besoins d’investissement se multiplier.
Pour résoudre cette antinomie et cependant rendre possible la rénovation des centres-villes sans utilisation de deniers publics, 
Compagnie Générale via RES sa structure dédiée à l’urbanisme et à l’immobilier, utilise la mouture fiscale « DENORMANDIE » et permet ainsi aux villes moyennes de se moderniser. La loi DENORMANDIE est un dispositif de défiscalisation immobilière qui permet aux épargnants de bénéficier d’une réduction d’impôt sur leurs revenus de 12, 18 ou 21 % du prix de revient d’un bien acquis, en contrepartie d’un investissement dans un logement à rénover, situé sur une commune éligible, et d’un engagement de location nue de 6, 9 ou 12 ans, à titre de résidence principale pour un locataire soumis à des conditions de ressources. Ces épargnants étaient jusqu’à présent cantonnés, en matière de défiscalisation, à des opérations immobilières sur le neuf, la fameuse loi « PINEL », et se voyaient proposer des produits, bien souvent gourmands en marge, où la réduction d’impôt ne compensait même pas la moins-value réalisée par la différence entre le prix du neuf et celui de l’ancien. Cette valorisation surestimée du prix du neuf dans la loi PINEL ne s’applique pas à la mouture DENORMANDIE puisque cette dernière concerne exclusivement l’immobilier ancien. 

 

C’est un avantage déterminant dans la qualité et la performance de l’investissement dans la mesure où, pour un même montant investi, le contribuable bénéficiera d’une superficie plus importante en DENORMANDIE et donc, compte tenu des mêmes contraintes locatives, d’une meilleure rentabilité de son placement. De plus, ces logements solidaires sont dédiés aux femmes en difficulté et leurs loyers pris en charge par les allocations publiques. Voilà pourquoi, Compagnie Générale propose aux contribuables, le « Pack Fiscal Sécurisé DENORMANDIE », structuré par la société RES Résidences Eco Solidaire et correspondant en tout point à une optimisation fiscale réussie. Il présente, outre l’aide de l’État accordé à un emplacement en centre-ville, la certitude de revenus locatifs garantis par les locataires sélectionnés par les mairies, tous éligibles à l’aide personnalisée au logement (APL), et directement versée aux propriétaires. Pas besoin des pseudo garanties de loyers PINEL. La déclinaison de la loi « DENORMANDIE » et de l’engagement de l’Etat se conjuguent, version RES, par les avantages fiscaux alloués sur l’immobilier aux particuliers plus aisés avec les aides destinées aux citoyens plus nécessiteux pour permettre une meilleure cohésion sociétale au sein d’une commune redynamisée.

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LA LUTTE CONTRE L’ABSENCE DE MOBILITÉ RURALE

« Pourquoi est-il important d’imaginer d’autres modes de transport en milieu rural et périurbain ? L’étalement des agglomérations et la dispersion de l’habitat en zone rurale, la localisation des activités économiques et le manque de transports en commun dans ces territoires où vivent 40 % des Français, ont poussé à une utilisation massive de la voiture individuelle qui n’est plus tenable aujourd’hui tant pour le climat, la qualité de l’air que le pouvoir d’achat des habitants des zones périphériques et rurales, contraints d’utiliser leur véhicule au quotidien. 

Les collectivités locales, en association avec des acteurs privés ou associatifs, doivent désormais proposer et susciter des façons alternatives de se déplacer, moins polluantes pour l’environnement et moins coûteuses pour leur budget. Il s’agit de maintenir le lien social et l’accès aux services : santé, enseignement, commerces, loisirs… C’est également un atout pour renforcer l’attractivité de leur territoire. ».

Ces mots de l’ADEME, l’agence de la transition écologique, dans son chapitre concernant la mobilité rurale, l’élu et le cadre de vie, illustrent parfaitement le thème sociétal et l’ampleur du problème à traiter impérativement. C’est la hausse du prix du gasoil qui a, en son temps, provoqué le mouvement des « gilets jaunes ». 

Afin du lutter efficacement contre cette absence de mobilité rurale, Compagnie Générale, via FEDER-Cités Mobilités, son entité dédiée à la transition écologique,  propose le « Pack Mobilité Rurale » à l’adresse des habitants des villes moyennes. Cette offre de mobilité se décline suivant toutes les configurations possibles, l’autopartage, le covoiturage, la location ou la gestion de flotte collective. Elle s’adresse aux particuliers en fonction de leurs besoins d’utilisation mais aussi aux Collectivités Publiques pour diminuer d’une façon drastique leurs coûts usuels. Ce partenariat est écolo compatible puisqu’il privilégie l’hybride et l’hydrogène comme mode de propulsion. Cette offre a pour objectif de faire baisser les coûts de transport de 20 % pour les particuliers, 30% pour les flottes des Collectivités Publiques et de 50% pour les organismes qui remboursent certains transferts.

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